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Introduction de notre cas client

Pierre a 35 ans et est Graphic designer depuis une dizaine d’années. Il travaille à son compte pour plusieurs sociétés. Son CA mensuel s’élève en moyenne à 4 000 euros par mois. Il s’est constitué une épargne de précaution sur un livret (l’équivalent de 6 mois de revenus). Il souhaite maintenant investir sur d’autres supports ce qui lui permettrait de diversifier son épargne pour mener à bien de futurs projets comme faire le tour du monde. Il pense également à sa retraite car il sait que celle-ci sera plus faible que celle des salariés. Par exemple : avec un revenu annuel de 50 000 euros par an et un départ à la retraite à 62 ans, ses revenus mensuels ne seraient que de 1679 euros* (brut avant impôt) s’il a bien validé ses 4 trimestres jusqu’à l’âge légal du départ en retraite.

Prenant conscience qu'il perdra une partie de ses revenus, il souhaite trouver des solutions afin de maintenir son niveau de vie au moment de quitter le monde professionnel.

Pierre envisage d’effectuer un investissement de 10 000 euros et a la capacité d’épargner chaque mois 200 euros. Il souhaite effectuer une simulation des revenus de son placement sur 10 et 20 ans afin d’étudier les différents scénarii possibles.

*Exemple de simulation sur Calculer ma retraite : simulateur de retraite M@rel - Les services Info Retraite (info-retraite.fr)

Découvrir la solution proposée à Pierre.

L’achat de parts de SCPI pourrait être une solution car c'est un produit qui permet à la fois d'investir dans de l’immobilier et de faire potentiellement fructifier son investissement. En cas de besoin, Pierre aura également la possibilité de débloquer cette épargne. (Liquidité des SCPI disponibles sur Moniwan en 2022 comprise entre 1 et 3 mois).

Pierre achète des parts de SCPI pour un montant de 10 000 euros avec un versement mensuel de 200 euros.

En activant l’épargne programmée (versement programmé et/ou distribution programmée), celle-ci sera rémunérée à compter du 1er jour du mois suivant la souscription dès le 1er euro versé, à un TAEG équivalent à 85% de la distribution de l’année précédente, en attendant la reconstitution d’une part entière. C’est une des solutions qui existe pour se lancer dans l’investissement immobilier.

Comme il n ’a pas besoin de ses revenus dans l’immédiat, il souhaite les réinvestir.

  • Au bout de 10 ans, Dans un scénario moins favorable avec un taux de rendement de 3,608%, son épargne s’élèvera à 28 561 euros (brut de fiscalité) avec un revenu annuel de 1 030 euros. Dans un scénario neutre avec un taux de rendement de 4,51% (moyenne des SCPI de Moniwan, il aura une épargne de 29 910 euros (brut de fiscalité) avec un revenu annuel de 1348 euros. Sur une hypothèse très favorable avec un taux de rendement de 4,961%, il aura réussi à faire fructifier son épargne à hauteur de 30 611 euros (brut de fiscalité) pour un revenu annuel de 1518 euros.
     
  • Au bout de 20 ans, dans un scénario moins favorable avec un taux de rendement de 3,608%, son épargne s’élèvera à 69 557 € (brut de fiscalité) pour un revenu annuel de 2409 euros. Dans un scénario neutre avec un taux de rendement de 4,51% (moyenne des SCPI de Moniwan, il aura une épargne de 76 573 € (brut de fiscalité) avec un revenu annuel de 3453 euros. Sur une hypothèse très favorable, avec un taux de rendement de 4,961%, il aura réussi à faire fructifier son épargne à hauteur de 80 613 € (brut de fiscalité) pour un revenu annuel de 3 999 euros.

Considérez cette rémunération comme "la cerise sur le gâteau" et non comme la raison principale de votre décision d’investir. Mais vous vous en doutez, la solution miracle n’existe pas. Cet investissement comporte des risques, notamment de perte en capital ainsi qu’une liquidité moindre. Les performances passées ne présagent pas des résultats futures.

Si Pierre décidait de revendre une partie de ses parts de SCPI au bout de 10 ans, il serait en mesure de financer un projet personnel. En ne vendant pas ses parts et en prenant sa retraite à 65 ans, Pierre sera en mesure de compléter ses revenus à hauteur de 200 euros par mois sur une hypothèse moins favorable, de 287 euros par mois (scénario neutre) et de 333,25 euros par mois dans un contexte très favorable.

Et vous, comment allez-vous financer vos futurs projets et anticiper votre retraite ?